mercredi 28 février 2018

Routine beauté Soir

Hello, comment allez-vous ?


Aujourd’hui je vous propose un petit article beauté sur ma routine 

soin - mais cette fois-ci - du soir pour faire suite à l’article sur ma  


Comme pour mes soins du jour j’alterne régulièrement mes

produits surtout avec les changements de saison. En ce moment 

voici mon rituel du soir :


1/ Je nettoie ma peau


C’est primordial !

Que je sois maquillée ou non ce passage est mon premier geste de 

beauté. Je le fais tous les soirs même lorsque je suis de soirée et que 

je rentre très tard. C’est simple je n’arriverais même pas à 

m’endormir si je ne le faisais pas ! Cela permet à ma peau de 

respirer et de se débarrasser du maquillage restant mais aussi de la

pollution ou de la transpiration qui s’est accumulée toute la 

journée.

Je n’utilise pas de lait démaquillant, car je n’en aime pas la texture 

et je trouve cela trop gras. En ce moment, j’applique une huile pour

le visage et une eau micellaire pour les yeux.

L’eau micellaire est celle de chez Avène. Je la verse d’abord sur un

coton puis je le passe délicatement sur mes cils.





Ensuite, j’applique sur mon visage un masque extra fin

démaquillant de chez Roger & Gallet de la gamme de soin Aura

Mirabilis qui à l’origine est un masque mais que l’on peut 

également utiliser en démaquillant. Elle s’applique avec les doigts à

sec, au contact de la peau la crème devient huileuse ce qui est le 

signe que toutes les impuretés ont été éliminées. Je me mouille 

ensuite les mains et je les repasse sur mon visage. Au contact de 

l’eau l’huile se transforme en une légère mousse laiteuse. Je rince 

ensuite avec de l’eau puis je me sèche le visage avec un kleenex et 

non une serviette pour ne pas agresser la peau.




Je nettoie ma peau tous les soirs mais pas le matin où je me 

contente d’une brumisation d’eau thermale simplement pour 

réveiller ma peau.


2/ Je traite ma peau avec une lotion spécifique

Matin et soir j’utilise une lotion pour traiter un problème 

spécifique que rencontre ma peau à un moment donné.

Je l’applique après le nettoyage juste avant de mettre mon sérum. 

La lotion permet de traiter des petits soucis spécifiques que l’on 

peut avoir à un moment donné comme un excès de boutons, une 

peau sensible ou encore un manque d’hydratation.

Parfois, j’utilise une lotion simplement pour rafraîchir ma peau 

c’est l’objectif par exemple des eaux florales. J’aime bien en utiliser 

en été.

En ce moment ma peau est très sensible avec des rougeurs 

j’applique donc une lotion « ré-équilibrante » de chez 

SkinCeuticals que je vous ai déjà présenté dans mon article 

« routine jour ».


3/ J’applique un sérum


Celui-ci est très important surtout lorsque l’on avance en âge, car la

peau nécessite plus d’attention.

Un sérum est plus concentré qu’une crème et a pour objectif une 

action bien spécifique : anti-âge, acné… En effet, tous ces problèmes

ne se traitent pas qu’avec une crème de jour qui a avant tout un 

objectif d’hydratation. 

Par exemple :

-une déshydratation qui n’arrive pas à être comblée par une crème 

(ou pire la crème ne comble pas cette déshydratation, mais elle est 

tellement riche qu’elle donne des boutons…),

-des tâches, des cicatrices, des rides. Ici le sérum agira plus en 

profondeur qu’une crème,

-un manque d’éclat avec un visage terme,

-ou encore de l’acné.

Il faut donc choisir le sérum en fonction du problème que l’on 

souhaite traiter.

Le sérum est également utile pour renforcer l’action ciblée de la 

crème. En revanche, le sérum ne servira à rien si les problèmes de 

boutons et autres ont une origine hormonale ou sont dus à une 

maladie de peau. Dans ce cas il faudra aller voir un dermatologue.

Depuis quelque temps japplique le sérum Ultimate anti-âge de 

chez Shisheido, j’en suis très contente, mais son prix est quand 

même assez prohibitif, aussi, j’hésite à tester un autre sérum 

comme celui de chez Clarins le double sérum qui est un soin 

complet anti-âge. À suivre !




Après avoir posé mon sérum j’attends quelques minutes (le temps 

du brossage de dents par exemple) puis j’applique la crème 

hydratante.


4/ J’hydrate ma peau avec une crème de nuit
Après le sérum j’hydrate ma peau afin de l’aider à se reconstruire durant la nuit. Actuellement j’applique la crème Tolériane Ultra Nuit de chez La Roche Posay. Comme je l’ai acheté et que je n’ai pas d’allergie je vais la terminer, mais il ne s’agit pas d’une crème que je vous conseille. Quand je me réveille je n’ai pas la sensation en me regardant dans le miroir d’avoir une peau bien reposée et bien hydratée. Elle n’est pas du tout souple après une nuit de repos. Effet zéro sur ma peau, aussi je ne rachèterai pas.

 5/ Enfin, j’hydrate mon contour des yeux
Pour le contour des yeux j’applique une crème lissante de chez Embryolise.

D'une manière générale, je le choisis en fonction du besoin du moment, si je vois que j'ai les yeux fatigués avec des poches je prends un contour des yeux décongestionnant, si j’ai la peau sensible qui tire je prends un contour des yeux hydratant et apaisant. En ce moment je cherche à combler les signes de l’âge je me suis donc orientée vers une gamme anti-âge. J’en suis contente, la crème est fraîche et non grasse et le matin je sens mon contour des yeux lissé. Toutefois lorsque je suis très fatiguée le soin à moins d’effet, je sens qu’il me faut un produit plus efficace. Je le conseille quand même car il fait le job : il hydrate la peau qui est moins sèche.
Voilà j'espère que cet article vous a plut. 
Je vous souhaite une bonne fin de semaine

mercredi 21 février 2018

Une Saint Valentin autour d’un tea-time à L’Hôtel

Bonjour,
La semaine dernière c’était la St Valentin et pour ce jour spécial j’avais demandé à monsieur mon mari de poser sa journée.
Cette année, en effet, c’est moi qui me suis occupée de l’organisation de cette journée. Traditionnellement, mon mari m’invite à dîner dans un restaurant de choix, mais cette année, j’ai voulu lui faire à mon tour une surprise en lui proposant quelque chose qui change de l’ordinaire : un moment à deux sur Paris alliant gourmandises et moment détente dans un cadre élégant. J’avais déjà une petite idée derrière la tête !!
Il y a quelques mois je m’étais rendue avec une copine à L’Hôtel – le plus petit des palaces parisiens !! – pour un tea-time. À cette occasion j’avais découvert que ce petit palace bénéficiait également d’un SPA avec piscine et hammam mais surtout quil proposait une offre « Tea-time & SPA » dénommée judicieusement « Instant détente ». J’ai donc gardé cela dans un coin de ma tête et le moment venu j’ai réservé. Bon, pour tout vous dire, à l’origine j’avais téléphoné en octobre pour réserver cette offre le 1er décembre. Je voulais m’y rendre pour notre anniversaire de rencontre. Malgré mes 2 mois d’avance tout était complet, du coup jen ai profité pour réserver pour la Saint Valentin. J’ai donc réservé 4 mois à l’avance pour avoir la date de mon choix…
À notre arrivée nous avons pu patienter tranquillement dans un petit salon avec livres d’art et journaux à disposition. Ce fut l’occasion aussi de découvrir un beau salon.



Pour information L’Hôtel date de 1828 et se situe à l’emplacement du pavillon d’amour de la Reine Margot qui se trouvait dans le parc de son palais au XVIIe siècle.
Lorsque l’hôtesse est venue nous chercher pour nous conduire au SPA nous avons pu contempler l’architecture du lieu et cette fabuleuse tour au centre de l’hôtel.



Le SPA se situe au sous-sol. Entouré de pierres blanches, le lieu invite au calme et à la méditation. La privatisation de la piscine et du hammam est un vrai plus, il fait paraître le moment encore plus privilégié. Pour ne rien gâcher, le massage d’une durée de 30 minutes et qui se déroule au pied de la piscine est vraiment relaxant. Un bonheur !!
Crédit photo: L'Hôtel

Après cet instant détente nous nous sommes rendu au salon de thé pour notre tea-time de la Saint Valentin. En rejoignant le salon nous sommes passés devant le bar qui a un charme fou avec ses colonnes et ses fauteuils.

Le salon de thé est accueillant avec sa lumière tamisée, ses fauteuils douillets et ses rideaux de velours ce qui met bien en valeur les nappes blanches des tables et la vaisselle blanche et or.

Inclus dans l’offre nous avons dégusté une coupe de Champagne bien fraîche. Après la chaleur du hammam celle-ci fut fortement appréciée.

Ensuite, monsieur mon mari et moi-même avons choisi le chocolat chaud Valrhona Jivara 40 % de cacao mais deux autres versions existent : Guanaja 70 % de cacao et Ivoire 35 % de cacao. Le chocolat était onctueux avec un soupçon de vanille. Un délice.
Côté salé, L’Hôtel nous a servi un assortiment de sandwichs :
– un finger concombre-menthe et un autre dinde-sauce Samora,
– un finger brioché saumon fumé-crème à l’aneth,
-un mini cake à la feta.

Pour continuer, côté sucré, nous avons dégusté :
-des scones avec une crème à la mascarpone légèrement citronnée et une confiture à la framboise,
-un cœur de guimauve,

-un macaron à la griotte,
-un feuilleté à la praline rose,
-un sablé à la confiture de fraise,
-une douceur avec une coque à la rose et de la mousse de litchi,
-une douceur au chocolat sur un sablé au chocolat pétillant.

Le moment fut vraiment parfait. Je vous recommande chaudement cette sortie qui est une vraie parenthèse de douceur et de gourmandise.
A bientôt.
Kiss mes petites roses. 
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L'Hôtel *****
13 rue des Beaux-Arts
75 006 Paris 
(sur réservation)

mercredi 14 février 2018

Mon premier atelier d'Origami



Bonjour,
Je vous souhaite une merveilleuse Saint Valentin. Pour ma part monsieur mon mari et moi avons posé notre journée pour la passer en amoureux, j'ai organisé une jolie journée j'espère que cela lui plaira. Je vous raconterai cela !!
En attendant je vous propose un article sur ma nouvelle lubie du moment : l'Origami.
Source : site paper-toy

A force de regarder des mangas je me suis intéressée à la culture japonaise et notamment à la technique de l'origami. Je me suis inscrite à un atelier d'origami que j'ai fait la semaine dernière. C'était vraiment génial !!
Mon premier origami !!!!!!!!!!
Aussi je vous propose un petit article sur cet art. J'ai adoré découvrir sur ce magnifique art nippon (Source Wikipédia).

L’art du pliage en papier
L’origami – des termes japonais « oru » signifiant « pliage » et « kami » voulant dire « papier » – est l’art ancestral japonais du pliage en papier (uniquement du pliage, d’une seule pièce en papier, sans découpage ni collage). À travers ce pliage il est possible de faire différente représentation : un animal, un objet, une fleur ou encore un personnage.
Source : Paper Toy

L’origami a tout d’abord une origine chinoise puis a été perfectionné par les Japonais. Il est considéré par les occidentaux comme un art difficile, car il mêle l’imaginaire, la patience, la dextérité mais également la géométrie et les mathématiques. Il s’agit donc d’un art extrêmement riche et complet qui nécessite de nombreuses années d’exercice pour atteindre un certain niveau.

Une tradition japonaise

Le papier est né en Chine (IIème siècle avant J.-C.) mais la pratique régulière du pliage de papier est essentiellement d’origine japonaise (VIème siècle). Les premiers pliages étaient destinés à l’emballage des médicaments et des aromates. Ils servaient également les rituels religieux pratiqués par les moines shintoïstes. Son utilisation sacrée est encore reconnue aujourd’hui puisque l’on en trouve dans les temples actuels.
Tout commença donc avec l’invention du papier, lorsqu’en l’an 538, un prêtre bouddhiste venu de chine introduisit au Japon la méthode de fabrication du papier. À l’origine, le papier était un bien précieux, c’est-à-dire très coûteux, ce qui explique que l’Origami ne se soit pas ouvert immédiatement au grand public. Réservé aux cérémonies et rituels, l’origami était soumis à des règles de pliage très rigoureuses qu’on ne pouvait apprendre qu’auprès de maîtres. L’Origami de cérémonie servait à décorer les cruches de saké, ainsi dans les cérémonies religieuses, une feuille de papier plissée était placée autour du goulot des récipients de saké et servait de bouchon d’apparat. Les Samouraïs s’échangent également des cadeaux ornés de noshi, une sorte de jeton porte-bonheur fait de bandes de papier pliés.
Pour les cérémonies de mariages, l’Origami avait une fonction symbolique, ainsi deux papillons de papier, le mâle ocho et la femelle mecho, que l’on fixait avec un ruban autour du goulot de deux cruches de saké représentaient les époux. Plus tard, on décrochait les deux papillons et on les posait l’un sur l’autre, on mélangeait le contenu des deux cruches et ainsi l’union était reconnue sacrée. À partir de l’an mille, on voit apparaître des modèles traditionnels comme le papillon, la grue, la grenouille et le crabe.
Durant l’époque Muromachi (1392-1572) se développe un art de l’emballage très codifié qui associe papiers pliés et cordons de différentes couleurs (noshi). Trois ouvrages témoignent de la tradition japonaise. L’un donne des instructions pour plier des grues attachées les unes aux autres (de deux à une centaine), un autre réunit des diagrammes permettant de plier les personnages d’un jeu japonais. Le troisième, est une sorte d’encyclopédie écrite à la main dont deux tomes sont consacrés au pliage.
Aujourd’hui, le pliage est enseigné aux enfants japonais par la transmission familiale. Avant il faisait partie intégrante de l’instruction dans les jardins d’enfants, les écoles primaires et les collèges de jeunes filles au début du XIXème siècle.
L’Origami n’est donc pas uniquement un jeu récréatif, car si depuis plus de 400 ans, les mères de famille japonaises apprennent à leurs enfants ces pliages de papier, c’est qu’elles considèrent l’origami comme un des éléments importants de la tradition artistique japonaise.

Un art traversant les frontières

La connaissance de l’origami en France se limite généralement à la cocotte ou à l’avion en papier.
Il faut à peine remonter à la Renaissance pour identifier les premiers origamis à travers les cours royales européennes qui s’entichent du pliage des nappes et des serviettes. Ainsi, pour les noces du roi Henri IV et de Marie de Médicis, la table d’honneur fut-elle parée de pliages en forme de fruits et d’oiseaux.
Il faudra attendre le XIXème siècle pour avoir des informations plus sérieuses. Un instituteur français, M. Savineau, publie en 1897 un livre de travaux manuels scolaires, Pliage et découpage du papier, qui fait référence au pédagogue allemand Friedrich Fröbel, créateur en 1840 du premier jardin d’enfants. De même, une doctoresse italienne Maria Montessori prône l’utilisation du pliage pour éveiller les facultés créatrices des enfants. En Allemagne, Laslo Mojoly- Nagy inclut des cours de pliage à l’école du Bauhaus en 1930.
C’est grâce au Maître japonais Akira Yoshizawa que les différentes traditions vont pouvoir se rejoindre. Il met au point dans les années 1950 un langage international de symboles permettant de déchiffrer tous les livres d’origami.


La réalisation de l’origami
La manipulation peut prendre quelques minutes jusqu’à plusieurs heures, ce qui signifie qu’il faut un peu de patience et beaucoup de pratique pour réaliser des origamis de plus en plus impressionnant visuellement. Quelques fondamentaux à connaître avant de se lancer dans ce magnifique art nippon :
– Les origamis se réalisent avec une feuille de papier carrée.
– Il est conseillé lorsque l’on débute de commencer avec des feuilles de couleur unie c’est-à-dire sans motif afin de faciliter la visualisation du pliage. Lorsque l’on devient plus sûre de soi il est possible de passer à un papier à motifs. Il existe de très jolis papiers à origami.
– L’origami doit être réalisée sans découpage et sans collage.
Les modèles d’origami commençant souvent par une même succession de plis, il arrive fréquemment qu’il faille partir d’une base. Il faut ensuite réaliser une succession de figures en faisant des plis pour parvenir au modèle final.
Parfois les figures les plus difficiles sont réalisées dans du papier d’aluminium plutôt que du papier ordinaire, car cela permet de faire plus de plis avant que le support ne soit trop abîmé pour être plié une nouvelle fois. Une autre technique, celle du papier mouillé, permet de créer des reliefs et des courbes intéressantes.
Grâce à internet il est aujourd’hui plus facile de débuter dans cet art. Il est possible de recourir à différents moyens.
Vous pouvez commencer à regarder quelques tutos sur You Tube.
Si vous avez un peu peur de commencer tout seul il est possible de s’inscrire à des ateliers origami. À Paris, il existe quelques associations qui propose ce type d’atelier. Pour ma part je me suis inscrite à Quartier Japon (comptait 22 euros les 2h d’atelier).
Vous pouvez également recourir à des ouvrages spécialisés.
Comme je voulais avoir de bonnes bases j’ai choisi de commencer par un atelier. Ce fut très sympa et original.
Mon deuxième origami 


Le symbolisme de l’origami
La grue dans les origamis est la figure la plus célèbre, il est un animal très réputé au Japon.

Selon wikipédia :

" La légende des mille grues ( tsuru) raconte que si l’on plie mille grues en papier dans l’année, retenues ensemble par un lien, on peut voir son vœu de santé, de longévité, d'amour ou de bonheur exaucé. Pour que le vœu, la chance ou la santé se réalise, on doit fabriquer le senbazuru pour une personne bien particulière et faire une prière à chaque grue achevée. Une seule personne doit conserver le senbazuru, celle pour laquelle il a été fait. Moins nombreuses sont les personnes à avoir fabriqué la guirlande, plus le vœu sera fort car il aura demandé beaucoup plus de patience et de persévérance… En général, on offre un senbazuru à une personne très proche, souvent malade, ou plus culturellement pour une naissance ou un mariage. La guirlande des mille grues est devenue un symbole mondial de paix et les gens peuvent en laisser dans les temples ou jardins de prières (notamment à Tokyo et Hiroshima). La guirlande est alors laissée à la merci des éléments et symbolise des messages. Elle a alors le même sens que les drapeaux de prières tibétains. "
Cette légende a inspiré l’histoire de Sadako Sasaki, survivante des bombardements atomiques. Cette fillette japonaise atteinte de leucémie à la suite de l’explosion de la bombe atomique d’Hiroshima avait entrepris de réaliser, sous l’impulsion de sa meilleure amie Chizuko, mille grues en origami afin de réaliser son vœu de guérison. Malheureusement, elle est morte avant d’avoir pu achever sa tâche en ayant réalisé seulement 644 grues. Les élèves de sa classe ont terminé ce qu’elle avait commencé et son histoire a fait de la grue en papier un symbole de la paix.
En 1958, un monument de la paix des enfants a été inauguré, immortalisant en son sommet, Sadako tenant une grue en or dans ses mains. L’événement a eu lieu le jour de la fête des enfants, le 5 mai 1958. Son piédestal porte l’inscription « Ceci est notre cri. Ceci est notre prière. Pour construire la paix dans le monde ».




Offrir un origami
Un origami peut s’offrir en témoignage d’amour ou d’amitié à quelqu’un qui compte et que l’on aime.
Un origami peut également se porter en bijoux pour femme. Il peut s’agir d’un cadeau original mais éphémère que l’on peut porter qu’une seule nuit...
Bonne saint valentin